L’Anatomie de la maladie

Dans un but pratique, la médecine moderne considère la maladie comme un mauvais fonctionnement chimique ou électrique des organes ou des systèmes du corps et, bien entendu, c’est vrai jusqu’à un certain point. Toutefois, le piège repose dans notre incompréhension en une perspective juste et la croyance que c’est la seule cause, donc le seul remède. 

Cette compréhension incomplète de la maladie nous a menés à de piètres conditions de bien-être. 
Prenons le cas des maladies chroniques : 
Lorsque la chimie corporelle est altérée et que le corps et l’organisme expérimentent la maladie, nous les infusons de produits chimiques et d’ électrolytes appropriés afin de les régulariser et de les ramener à la normale – jusqu’ici ça va. 

Si, en faisant ceci, le corps arrive à se débarrasser lui-même de la maladie et peut recommencer à fonctionner normalement, alors, l’intervention a eu sa raison d’être. Sinon, le sujet dépendra maintenant d’une dose régulière de produits chimiques pour l’aider à se comporter normalement. Les symptômes aigus peuvent être gardés sous contrôle, mais la racine du problème peut ne pas avoir été touchée. Bien que ce soit possiblement désirable, ce n’est pas suffisant. 

Dans la guérison pranique, l’approche consiste à guérir le corps énergétique et à apporter ainsi la transformation désirée au corps physique. Pendant que le corps éthérique est guéri, ce qui peut aussi arriver est que les niveaux mental, émotionnel et psychologique du sujet le soient également. 
Comme il est largement accepté aujourd’hui que les maladies chroniques ont des composantes et souvent des racines psychosomatiques, cette approche offre une occasion de guérison supplémentaire. Comme les guérisseurs praniques le savent, un blocage ou un obstacle du flot de prana à n’importe quel endroit du corps énergétique affecte cet endroit et les chakras impliqués. 

Dans le cas des maladies chroniques, souvent enracinées dans le stress, l’anxiété, la culpabilité, la colère et autres émotions négatives, le chakra du plexus solaire est affecté et contribue à déclencher la maladie. 
Les émotions négatives affectant le chakra du plexus solaire peuvent être généralement divisées en deux catégories : ex- primées et non exprimées : les émotions négatives exprimées affectent normalement le chakra avant du plexus solaire et celles non exprimées, le chakra arrière du plexus solaire, le rendant congestionné et suractif. 

Commençons avec les émotions exprimées où les gens crient, sacrent, pleurent, agissent agressivement, intimident, imposent, poussent, etc. 

Ici, le chakra avant du plexus solaire est bloqué et congestionné par l’énergie émotionnelle négative, ce qui réduit l’apport d’énergie pranique au petit et gros intestin et cause des maladies comme l’ulcère gastrique et du duodénum et, si cet état persiste longtemps et avec une intensité accrue, une dysfonction intestinale aiguë. C’est la raison pour laquelle les personnes anxieuses et stressées ont souvent des troubles digestifs et un transit intestinal anormal. Les diarrhées peuvent mener à des problèmes comme la déshydratation ou encore, endommager l’intestin, alors que la constipation peut mener à la formation de gaz douloureux, flatulence, mauvaise haleine, déjection, hyperacidité et aussi des hémorroïdes. 

Le plexus solaire contrôle aussi le foie et puisque le travail du foie est de contrôler le niveau de cholestérol dans le sang, un chakra du plexus solaire bloqué peut affecter cette fonction, menant à un blocage artériel et même à un blocage coronaire. C’est pourquoi même les personnes minces et athlétiques peuvent souffrir d’un blocage coronaire et que plusieurs personnes obèses traversent leur vie sans ce problème. 
Un chakra du plexus solaire fonctionnant inadéquatement ne permettra pas la pénétration d’un flot abondant d’énergie vitale et pourrait exercer une pression de retour sur le canal le nourrissant causant ainsi une dysfonction du chakra du nombril, projetant le système d’assimilation en entier hors de son mode de fonctionnement normal ; il en sera de même du système d’élimination. Lorsque le chakra du nombril est affecté, il exerce une pression de retour sur le chakra sexuel, causant son mal fonctionnement ce qui résulte en un désir sexuel altéré comme l’agression, la déficience sexuelle, l’impuissance ou la stérilité. 

Chez la femme, des menstruations irrégulières, la dysménorrhée et des saignements excessifs peuvent tous résulter de ce phénomène. 

Un mauvais fonctionnement du chakra sexuel peut aussi apporter des problèmes du système urinaire comme le besoin d’uriner fréquemment ou non fréquemment, les deux ayant des conséquences très dommageables à long terme. 

Un chakra du plexus solaire bloqué et congestionné ne permet le passage que d’une très petite quantité d’énergie pranique et la première victime est souvent le chakra du cœur. Puisque celui-ci contrôle le fonctionnement du cœur physique, il est peu surprenant que la complaisance en l’expression d’émotions négatives puisse causer des problèmes cardiaques. Le manque d’énergie vitale allant au cœur, causé par le blocage du plexus solaire et le fonctionnement inadéquat du foie, résulte en la perte de contrôle du cholestérol dans le sang et crée le pire cocktail pour le cœur. 

Le chakra du cœur contrôle aussi les poumons et le plexus solaire contrôle le diaphragme. Lorsque ces deux chakras ne fonctionnent pas adéquatement, le système respiratoire est à risque. Si le chakra du cœur est privé d’une quantité suffisante de prana, le chakra de la gorge et le Ajna (chakra du troisième œil) le seront aussi. Il en résultera des problèmes variés allant de la sinusite, à l’asthme, la bronchite, l’emphysème, etc. Alors vous voyez que la vaste majorité de nos maladies chroniques est reliée à un mauvais fonctionnement du chakra du plexus solaire causé par la complaisance en l’expression des émotions négatives. 

Regardons ce qui arrive lorsque ces émotions négatives restent non exprimées (souvent à cause de la peur). Telles que ces choses que l’on ne montre pas dans la pièce avant de notre maison sont relégués au grenier, il en est de même pour tout ce qui ne peut pas être exprimé par le chakra avant du plexus solaire qui est transporté au chakra arrière du plexus solaire causant sa congestion avec des énergies négatives et des émotions non exprimées. 

Un chakra arrière du plexus solaire bloqué cause trop d’activité sur son chemin en obstruant le flot ascendant de prana, en étant lui-même empli d’énergie négative et en nourrissant les organes à proximité d’énergie de qualité inappropriée. Une de ses premières victimes peut être le pancréas, lequel est contrôlé par le plexus solaire arrière, causant son mal fonctionnement et menant au diabète. 

Lorsque la congestion est légère, le blocage du flot ascendant fait que l’énergie recherche un chemin par les côtés de la colonne vertébrale et si cela continue longtemps, pousse la colonne vertébrale hors de sa place habituelle résultant en une scoliose. Cependant, si le blocage est sévère, la pression de retour exercée sur le chakra arrière du plexus solaire pousse l’énergie vers le bas et cause une suractivation du chakra du meng mein aboutissant en hypertension. Si cet état persiste trop longtemps, l’énergie émotionnelle négative provenant du plexus solaire s’infiltre dans les reins (contrôlés par le meng mein) et cause une déficience rénale. 

Lorsque le chakra arrière du plexus solaire est fortement bloqué, le meng mein pousse l’énergie vers le haut avec une grande pression. Lorsque cette pression est très élevée, elle passe au travers du chakra arrière du plexus solaire bloqué et finit par endommager le chakra de l’arrière de la tête situé au sommet de la colonne vertébrale. 
Le chakra de l’arrière de la tête contrôle le cervelet, lequel contrôle à son tour le système nerveux somatique. Donc, lorsque le chakra de l’arrière de la tête est atteint, cela résulte en l’endommagement du cervelet, causant une attaque de paralysie. Si le blocage n’est pas trop sévère, il permet le passage d’une quantité réduite d’énergie pranique vers le haut jusqu’à la tête en passant par la colonne vertébrale et empêche que l’usure et la déchirure des tissus, dans la colonne, soient suffisantes pour causer une dégénérescence résultant en spondylose. Mais si le blocage est réellement fort, la pression de retour est si grande qu’elle pressurise le chakra de la base qui devient suractif et puisque ce niveau d’activité va au-delà de ses capacités normales, il s’épuise et s’affaiblit. 
Le chakra de la base contrôle le système musculaire et osseux et son affaiblissement signifie le maintien à la baisse de l’état des articulations et des cartilages menant vers des états dégénératifs tels l’arthrite, l’ostéoporose, la raideur du cou, la douleur du bas du dos, et ainsi de suite. 

Le chakra de la base contrôle aussi le système immunitaire ; alors un chakra de la base défectueux signifie que le sujet peut être plus fragile aux infections diverses et aux contaminations. Le chakra de la base contrôle aussi la qualité et la quantité de sang et s’il ne fonctionne pas adéquatement, de l’anémie et des allergies peuvent en découler. 

Le véritable problème est rencontré lorsque le blocage dans le plexus solaire arrière est très, très fort, causé par l’accumulation d’émotions négatives non exprimées comme : d’ancienne colère, ressentiment, haine ou culpabilité. Le flot ascendant est tellement restreint que seulement un filet arrive à monter de sorte que tous les chakras, à partir du cœur et en allant vers le haut, manquent de prana et s’affaiblissent. 
D’autre part, la pression de retour peut être si forte que le plexus solaire arrière, le meng mein et le chakra de la base deviennent extrêmement suractifs. 

Maintenant, une des fonctions du chakra de la base est de régénérer les cellules sous le contrôle du chakra ajna. Si le chakra ajna est extrêmement affaibli et n’est plus capable de contrôler le chakra suractif de la base, il y a danger d’une régénération cellulaire désordonnée et excessive mettant en place les conditions favorables à l’apparition du cancer. Il est clair que bien que les maladies puissent apparaître dans n’importe quelle partie de notre corps, leurs sources sont profondément enracinées dans le mauvais fonctionnement du plexus solaire qui est modifié soit par l’expression soit par la non expression des émotions négatives. 

Ayant vu ceci, il est clair que seulement se médicamenter avec les produits chimiques appropriés peut apporter un certain soulagement des symptômes mais qu’une guérison complète nécessiterait une harmonisation entière du système chakral. 

Par-dessus tout, le chakra du plexus solaire devrait être gardé en parfait mode de fonctionnement. Et la meilleure façon de faire ceci est d’éviter de se complaire dans les émotions négatives et de trouver une façon appropriée d’exprimer nos émotions. Trouvez des raisons d’être heureux, regardez le côté positif de toute situation et entourez-vous de personnes qui apprécient la vie.

Site de Nadine :
http://massatgesdelmon.wordpress.com